L’actuel président du comité de surveillance de l’AS Saint-Etienne, également président de Première Ligue, le syndicat des clubs de Ligue 1, a eu plusieurs vies. Homme d’affaires inspiré, en pionnier européen des centres d’appel et du télémarketing qui allaient faire sa fortune dans les années 80, il fut aussi le premier à croire au principe des loges dans les stades. Mais plus que tout, l’ancien éphémère président de l’OM (une semaine en 1994 !) a toujours été un vrai passionné de foot. La preuve. (par J.L.B.)

BERNARD CAÏAZZO ET LE FOOTBALL…
Président, de mémoire, qu’elle était le onze de départ de l'AS Saint-Etienne en finale de la coupe d’Europe des clubs champions (ex-Ligue des Champions), à Glasgow en 1976 ? Alors là aucun problème, parce que ce match, je l’ai vu trente fois ! Et sur l'histoire du football, je pense être un des présidents de clubs en France qui en connaît le plus. Je lis France Football depuis que j’ai huit ans ! Je me lance : Curko – Janvion, Piazza, Lopez, Repellini – Bathenay, Santini, Larqué – Sarramagna et les frères Revelli. Farison et Synaeghel étaient blessés. Rocheteau aussi et il était entré en fin de match pour essayer de faire la différence.
Où étiez-vous ce jour là (12 mai 1976) ? Nous avions regardé le match dans un amphithéâtre de l’ESSEC, où j’étais un étudiant parmi d’autres. Mon premier grand souvenir de football.
En dehors du football, qu’est-ce qui vous passionne ? Entre ma vie de famille et le club, mes activités à Première Ligue depuis la saison passée, mes journées sont bien remplies.
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Président, de mémoire, qu’elle était le onze de départ de l'AS Saint-Etienne en finale de la coupe d’Europe des clubs champions (ex-Ligue des Champions), à Glasgow en 1976 ? Alors là aucun problème, parce que ce match, je l’ai vu trente fois ! Et sur l'histoire du football, je pense être un des présidents de clubs en France qui en connaît le plus. Je lis France Football depuis que j’ai huit ans ! Je me lance : Curko – Janvion, Piazza, Lopez, Repellini – Bathenay, Santini, Larqué – Sarramagna et les frères Revelli. Farison et Synaeghel étaient blessés. Rocheteau aussi et il était entré en fin de match pour essayer de faire la différence.
Où étiez-vous ce jour là (12 mai 1976) ? Nous avions regardé le match dans un amphithéâtre de l’ESSEC, où j’étais un étudiant parmi d’autres. Mon premier grand souvenir de football.
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