Depuis 2011 avec la société qu’il a créée, « Elite Athletes », depuis 2014 en partenariat exclusif avec la FFF, sous l’égide de « FFFusa », Edouard Lacroix est une des principales passerelles qui relient les jeunes étudiants footballeurs français aux universités américaines. Issus des centres de formation ou pas, ils sont ainsi plus de 300 à avoir vécu leur rêve US, à le vivre encore. (par J.L.B.)
![L'entretien Footengo - Edouard LACROIX (FFFusa) :]( "L'entretien Footengo - Edouard LACROIX (FFFusa) :")
M. Lacroix, comment vous est venue l’idée de créer Elite Athletes ?
Mon associé, Jérôme Meary, ayant rencontré beaucoup de difficultés pour concrétiser son projet universitaire aux USA il y a quelques années, nous avons pensé que nous serions utiles à aider les candidats au départ.
Depuis 2011, les départs sont sans cesse en augmentation, pourquoi ?
Parce qu’au sortir des centres de formation, si vous n’avez pas la chance de signer pro, les débouchés proposés sont rares. En France, parce que les centres jouissent d’une mauvaise réputation, on pense généralement que les jeunes qui en sortent n’ont que peu d’aptitude universitaire. Nous leur offrons au contraire l’occasion de rebondir au niveau scolaire, pour étoffer leurs bagages, sans abandonner leur ambition sportive pour autant.
Pourquoi a-t-il fallu attendre les années 2000 pour ça ?
L’offre a toujours existé mais il manquait un cadre pour saisir ces opportunités, c’est ce que nous nous efforçons de proposer depuis cinq ans. On profite également du développement du football (soccer) aux Etats-Unis, de la bonne image du football français, de ses entraîneurs et de ses joueurs, outre-Atlantique.
Quels sont les risques de se lancer dans une telle aventure ? ...
CLIQUEZ ICI POUR CONSULTER LA SUITE ET L'INTÉGRALITÉ DE L'ENTRETIEN SUR LE SITE DE NOTRE PARTENAIRE "ON A TOUS UN CÔTÉ FOOT"
Mon associé, Jérôme Meary, ayant rencontré beaucoup de difficultés pour concrétiser son projet universitaire aux USA il y a quelques années, nous avons pensé que nous serions utiles à aider les candidats au départ.
Depuis 2011, les départs sont sans cesse en augmentation, pourquoi ?
Parce qu’au sortir des centres de formation, si vous n’avez pas la chance de signer pro, les débouchés proposés sont rares. En France, parce que les centres jouissent d’une mauvaise réputation, on pense généralement que les jeunes qui en sortent n’ont que peu d’aptitude universitaire. Nous leur offrons au contraire l’occasion de rebondir au niveau scolaire, pour étoffer leurs bagages, sans abandonner leur ambition sportive pour autant.
Pourquoi a-t-il fallu attendre les années 2000 pour ça ?
L’offre a toujours existé mais il manquait un cadre pour saisir ces opportunités, c’est ce que nous nous efforçons de proposer depuis cinq ans. On profite également du développement du football (soccer) aux Etats-Unis, de la bonne image du football français, de ses entraîneurs et de ses joueurs, outre-Atlantique.
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