Originaire de Bretagne, passé par l'Alsace, Jérémy Bourgin vit sa passion du football au gré de ses mutations professionnelles. Militaire dans le... civil, le défenseur central est arrivé dans le Tarn et Garonne il y a deux ans. Et bataille depuis avec l'Espoir Vazeracais pour tenter d'accéder à l'Excellence... après y être montée en 2014. Ce ne sera certainement pas pour 2016 mais l'essentiel est, pour lui, ailleurs. (par T.D.)

Jérémy, votre premier souvenir avec un ballon aux pieds ?
J'étais tout gamin, en benjamin si je me souviens bien. C'était en Bretagne du côté de Rennes, un club qui s'appelait Bréquigny. Je devais avoir sept ans à l'époque et je garde de bons souvenirs dans ce club. Deux ou trois ans plus tard, on a eu la chance et le mérite d'arriver en finale de la coupe de Bretagne face au Stade Rennais en lever de rideau d'un match de l'équipe professionnelle qui évoluait en Ligue 2. Finale gagnée 1-0 : un super souvenir.
Ensuite, quel fut votre parcours pour vous retrouver aujourd'hui dans le 82 ?
Après Bréquigny, mes parents ont déménagé et nous sommes partis à Vitré. J'ai alors joué à Erbrée Mondevert, de l'âge de 15 ans jusqu'en sénior. Ensuite je suis parti à Moutiers trois ans et j'ai connu là bas une super équipe, des potes et une ambiance géniale. J'ai du partir de Moutiers pour des raisons professionnelles. Je suis à l'armée et j'ai été muté sur Phalsbourg... où je suis resté deux ans au Phalsbourg Football Club avant de rejoindre, en 2014, le Tarn et Garonne et Vazerac. Je me sens bien dans ce club malgré un début de saison difficile.
J'étais tout gamin, en benjamin si je me souviens bien. C'était en Bretagne du côté de Rennes, un club qui s'appelait Bréquigny. Je devais avoir sept ans à l'époque et je garde de bons souvenirs dans ce club. Deux ou trois ans plus tard, on a eu la chance et le mérite d'arriver en finale de la coupe de Bretagne face au Stade Rennais en lever de rideau d'un match de l'équipe professionnelle qui évoluait en Ligue 2. Finale gagnée 1-0 : un super souvenir.
Ensuite, quel fut votre parcours pour vous retrouver aujourd'hui dans le 82 ?
Après Bréquigny, mes parents ont déménagé et nous sommes partis à Vitré. J'ai alors joué à Erbrée Mondevert, de l'âge de 15 ans jusqu'en sénior. Ensuite je suis parti à Moutiers trois ans et j'ai connu là bas une super équipe, des potes et une ambiance géniale. J'ai du partir de Moutiers pour des raisons professionnelles. Je suis à l'armée et j'ai été muté sur Phalsbourg... où je suis resté deux ans au Phalsbourg Football Club avant de rejoindre, en 2014, le Tarn et Garonne et Vazerac. Je me sens bien dans ce club malgré un début de saison difficile.
"Trouver une ossature pour relever la tête"

Comment expliquer ces difficultés ?
Nous avons perdu de nombreux joueurs en fin de saison dernière. Le club a donc dû reconstruire avec un nouveau coach, mais en ce début de saison nous avons du mal à dégager une équipe type qui serait alignée à tous les matchs et qui nous permettrait de progresser plus vite. C'est ce qui nous oblige à stagner dans le ventre mou du classement. Pour pouvoir redresser la tête, il faudrait que nous trouvions une ossature, des automatismes, une équipe type tout simplement. Malgré notre effectif un peu réduit, je sais que nous en sommes capables. Nous devons continuer dans l'esprit de l'an dernier qui a été une belle saison, surtout en coupe.
Quels sont les objectifs du coup cette saison ?
Le maintien. Nous sommes capables de gagner et de perdre n'importe quel match donc, si l'envie est là, il n'y a pas de raisons que nous ne puissions pas nous maintenir cette saison. Cet objectif me paraît plus qu'accessible.
Un message à faire passer pour conslure ?
Oui, j'aimerais remercier le club de Vazerac pour l'accueil chaleureux qu'ils m'a réservé. J'ai eu les mêmes bonnes sensations lorsque je suis arrivé sur Phalsbourg. Et depuis, je garde de super souvenirs, des contacts et je n'oublie pas la bande de potes de Moutiers en senior qui m'a aussi fait vivre des moments extraordinaires. C'est avant tout pour ça qu'on joue au foot..
Propos recueillis par T.D.
Nous avons perdu de nombreux joueurs en fin de saison dernière. Le club a donc dû reconstruire avec un nouveau coach, mais en ce début de saison nous avons du mal à dégager une équipe type qui serait alignée à tous les matchs et qui nous permettrait de progresser plus vite. C'est ce qui nous oblige à stagner dans le ventre mou du classement. Pour pouvoir redresser la tête, il faudrait que nous trouvions une ossature, des automatismes, une équipe type tout simplement. Malgré notre effectif un peu réduit, je sais que nous en sommes capables. Nous devons continuer dans l'esprit de l'an dernier qui a été une belle saison, surtout en coupe.
Quels sont les objectifs du coup cette saison ?
Le maintien. Nous sommes capables de gagner et de perdre n'importe quel match donc, si l'envie est là, il n'y a pas de raisons que nous ne puissions pas nous maintenir cette saison. Cet objectif me paraît plus qu'accessible.
Un message à faire passer pour conslure ?
Oui, j'aimerais remercier le club de Vazerac pour l'accueil chaleureux qu'ils m'a réservé. J'ai eu les mêmes bonnes sensations lorsque je suis arrivé sur Phalsbourg. Et depuis, je garde de super souvenirs, des contacts et je n'oublie pas la bande de potes de Moutiers en senior qui m'a aussi fait vivre des moments extraordinaires. C'est avant tout pour ça qu'on joue au foot..
Propos recueillis par T.D.

Jérémy BOURGIN
Né le 3 juin 1986 à Rennes (Bretagne).
1,83 m - 73 kg
Poste : libéro
Parcours : Bréquigny, Erbrée Mondevert (2001-2009), Moutiers (2009-2012), Phalsbourg (2012-2014), Vazerac (depuis 2014).
Profession : militaire.
Né le 3 juin 1986 à Rennes (Bretagne).
1,83 m - 73 kg
Poste : libéro
Parcours : Bréquigny, Erbrée Mondevert (2001-2009), Moutiers (2009-2012), Phalsbourg (2012-2014), Vazerac (depuis 2014).
Profession : militaire.